La suspension
de peine pour raisons de santé a concerné 83 détenus.
La cour d'appel
de Paris devait examiner, vendredi 26 mars, la troisième demande de
remise en liberté de Nathalie Ménigon, militante d'Action directe,
aujourd'hui hémiplégique. Depuis la loi du 4 mars 2002, les
malades libérés avant la fin de leur peine, comme Maurice Papon,
restent rares.